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LAPOSTO

Née en 1995 en Roumanie, LaPosto vit et travaille à Bruxelles depuis 2018. Voyageuse, non téméraire et diplômée en tourisme, son attrait pour le voyage se traduit sur la toile par un jeu de traces et de lignes qui parcourent de bord en bord un espace plane. En grand ou en petit format, rencontrer l’univers de LaPosto c’est parcourir un voyage de couleurs et d’émotions - tantôt vibrantes, tantôt pastelles... Cette artiste, autodidacte, explore différentes matières: acrylique, pâte, huile, sculpture, aérosol, coulures, solutions. Elle élabore sa technique autour du figuratif et de l’abstraction. Dans ses œuvres, jaillissent les souvenirs et les émotions d’événements autobiographiques. Telle les peintures d’artistes expressionnistes, les toiles réalisées par cette artiste témoignent l’expression d’un langage personnel. Ces canevas mettent en scène différents contrastes: le ténébreux et l’onirique, l’angulaire et l’ondulatoire, la dualité de l’humain et la dualité du genre humain, l’introspection et l’exaltation. Amenant parfois jusqu’au grotesque les figures qui l’inspirent, LaPosto peint les visages d’un monde ironique qui rappelle parfois les spectacles de James Ensor.

Née en 1995 en Roumanie, LaPosto vit et travaille à Bruxelles depuis 2018. Voyageuse, non téméraire et diplômée en tourisme, son attrait pour le voyage se traduit sur la toile par un jeu de traces et de lignes qui parcourent de bord en bord un espace plane. En grand ou en petit format, rencontrer l’univers de LaPosto c’est parcourir un voyage de couleurs et d’émotions - tantôt vibrantes, tantôt pastelles... Cette artiste, autodidacte, explore différentes matières: acrylique, pâte, huile, sculpture, aérosol, coulures, solutions. Elle élabore sa technique autour du figuratif et de l’abstraction. Dans ses œuvres, jaillissent les souvenirs et les émotions d’événements autobiographiques. Telle les peintures d’artistes expressionnistes, les toiles réalisées par cette artiste témoignent l’expression d’un langage personnel. Ces canevas mettent en scène différents contrastes: le ténébreux et l’onirique, l’angulaire et l’ondulatoire, la dualité de l’humain et la dualité du genre humain, l’introspection et l’exaltation. Amenant parfois jusqu’au grotesque les figures qui l’inspirent, LaPosto peint les visages d’un monde ironique qui rappelle parfois les spectacles de James Ensor.